Ker violette
J'ai lu il y a un petit moment déjà Ker violette de Karine Fougeray aux éditions Delphine Montalant.
Première phrase: "J'ai rêvé que mon cheval était mort."
Depuis nos fabuleuses vacances en Bretagne, je suis attirée par tout ce qui me permettrait de retrouver les paysages et l'atmosphère de cette région. Ce fut donc une joie de trouver ce roman à la bibli de mon village.
J'ai des sentiments assez contradictoires suite à la lecture. Je trouve que l'histoire est assez gnan-gnan: des femmes passionnées de cheval, ça fait soit pré-adolescente, soit Harlequin (désolée pour mes éventuelles lectrices cavalières). Alors certes, l'histoire est quand même un tantinet plus complexe que ça. Mais depuis les succès de L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux et Danse avec lui, j'ai beaucoup de mal à me laisser embarquer dans ce genre d'histoire.
Malgré cela et à mon corps défendant, j'ai trouvé ce livre très émouvant, presque trop en fait. J'ai aimé ce livre, mais je ne suis pas à l'aise avec l'idée de l'avoir aimé. Un peu comme si je m'étais fait avoir, en fait.
Ma note: 8/10
PS: Ce billet est donc la preuve qu'il est parfois très difficile de cerner ses sentiments de lecteurs, et encore plus de les retranscrire. Je ne vous en voudrai donc pas si vous ne comprenez rien à ce que j'ai écrit ! Pour finir, j'ajouterai que mes sentiments mitigés ne m'ont pas empêchée d'acheter le recueil de nouvelles de l'auteure, Elle fait les galettes, c'est toute sa vie.