
J'ai lu L'ombre de ce que nous avons été de Luis Sepùlveda traduit par Bertille Hausberg aux éditions Métailié.
Première phrase: "Pour nous les vieux, il ne reste plus que Carlitos Santana, se dit le vétéran et il se souvint d'un autre vétéran qui, tout en lui servant du vin quarante ans plus tôt, avait eu la même idée, à une différence près, celle du nom."
Dans un appartement de Santiago, une dispute fait rage entre un couple plus tout jeune. Soudain, le vieux tourne-disque passe par la fenêtre. Le destin veut qu'il...
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